<p>La réalisation d’une
film timelapse est souvent compliqué à réaliser car il se déroule souvent sur plusieurs jours, mois ou années autour desquels l’appareil de prises de vue doit rester strictement fixe et ne pas tomber en panne. De plus les timelapses les plus longs étant souvent pour des chantiers, les appareils de prises de vue timelapse sont généralement en extérieur, subissant le chaud en été, le froid en hiver tout en étant régulièrement arrosés de pluie, neige voire grêle.</p>
<p>Nous avons donc décidé dans cet article de vous en dire un peu plus sur notre LapseCam et nos méthodes qui nous permettent d’aboutir à un
film timelapse fluide et agréable. Le problème numéro 1 rencontré est bien sûr la météo, et donc la pluie. Les appareils de prises de vue et de transmission de données sont particulièrement sensibles à l’eau et la moindre goutte pourraît oxyder notre matériel et compromettre la capture timelapse.</p>
<p>C’est pourquoi nous avons construit nos boîtiers à la norme IP67, c’est-à-dire étanches à l’eau et à la poussière et peuvent même résister à une courte immersion à moins d’un mètre. Certaines régions étant plutôt généreuses en précipitations nous avons également ajouté un dispositif anti-pluie que l’on appelle en interne « parapluie ». Il s’agit d’une sorte de toît dont les bénéfices sont multiples : il permet d’éviter que l’eau ne tombe directement sur le joint étanche et il protège notre LapseCam d’une exposition directe au soleil.</p>
<p>De plus la couleur blanche de ce dispositif permet en été de limiter la surchauffe des composants électroniques et de la batterie. Bien sûr en cas de pluie il y aura toujours de l’eau présente sur la lentille et sur le chantier, ce qui nous obligera lors du montage à retirer partiellement ces moment pluvieux du film final. Le vent peut aussi être notre ennemi et faire trembler l’image; là encore nous avons en post-production des outils pour annuler ce tremblement. Le second problème que l’on peut rencontrer est lié à l’autonomie de nos appareils. En effet ceux-ci sont alimentés par énergie solaire et en hiver les journées sont courtes et souvent moins généreuses en soleil, c’est pourquoi nous avons intégré une batterie qui permet d’assurer l’autonomie électrique en cas de plusieurs jours consécutifs de très mauvais temps. Il est en revanche difficile de donner un chiffre exact, l’autonomie pouvant varier en fonction de nombreux paramètres comme la température, la réception réseau ou encore les paramètres choisis pour le timelapse ; cette autonomie peut donc varier de quelques jours à plus d’un mois. Dans tous les cas, en cas de panne de batterie, la LapseCam est programmée pour redémarrer automatiquement dès que le soleil sera revenu.</p>
<p>Pour le moment nous n’avons encore jamais rencontré ce cas de figure en dehors de nos tests techniques. Enfin, le troisième point concerne la panne pure et simple de l’appareil, souvent imprévisible elle nécessite l’intervention sur site pour son remplacement ou le remplacement d’une pièce en particulier. Ce cas de figure, bien que rare, n’est pas à négliger et c’est pourquoi EcoLapse surveille au quotidien les paramètres techniques de l’ensemble de ses LapseCam. Cela n’évite pas les pannes mais permet de les anticiper et d’intervenir avant la panne ou juste après.</p>
<p>Nous recommandons également à tous nos clients de privilégier deux angles de prises de vue timelapse pour avoir un montage plus dynamique une fois la vidéo timelapse terminée, mais aussi d’avoir une sécurité en cas de soucis technique, météorologique ou énergétique. La post production est aussi un bon moyen de corriger tout les petits soucis rencontrés pendant la phase de tournage. Pour tout besoin de timelapse ou vidéo accélérée, n’hésitez pas à contacter nos équipes EcoLapse et
Ankaa communication.</p>